L’objectif de cette étude est de comparer l’impact de deux emballages de lait : la brique et la bouteille.
L’objectif de cette étude est de comparer l’impact de deux emballages de lait : la brique et la bouteille.
Hypothèses réalisées
1) Transport de l’emballage “vide”
Afin de comparer l’impact de ces deux emballages entre eux, nous avons considéré que la distance entre le fabricant d’emballage et le partenaire qui conditionne le lait est la même pour la brique et la bouteille.
2) Composition de l’emballage
Nous avons retenu, pour ces deux emballages, les compositions suivantes, mesurées chez le partenaire LSDH :
La brique est composée de papier (22,2 g), d’un film en polyéthylène (PE) (6,7 g) et d’une paroi en aluminium (1,4 g) et d’un bouchon en polypropylène (PP) (2,7g).
La bouteille est composée de polyéthylène téréphtalate (PET) (23,8 g), d’un bouchon en polyéthylène haute densité (PEHD) (2,9 g), et d’une étiquette en PP (0,8 g).
Nous n’avons pas pu prendre en compte les autres composants (encres, colles etc.) car nous n’avons pas obtenu de données fiables auprès des fournisseurs d’emballages. Néanmoins, ces composants sont utilisés en très faible quantité et ne changent que très peu les résultats obtenus. De plus, on peut considérer que les deux emballages comparés utilisent à peu près la même quantité de colle et d’encres.
3) Emballages “secondaires” Nous n’avons pas pris en compte les emballages “secondaires” (par exemple les palettes) dans cette comparaison car ce sont les mêmes qui sont utilisés pour les deux emballages.
4) Transport des emballages “pleins” Nous avons considéré que le transport du lait dans les deux emballages a sensiblement le même impact car la brique et la bouteille ont un poids et un volume similaire.
Méthodologie
La modélisation a été réalisée via l’outil BEE (bilan environnemental des emballages). La documentation associée est ci-dessous :