« C’est qui le Patron ?! » passe en mode « Fondation actionnaire » pour mieux protéger les producteurs.
C’est un modèle juridique rare qui rend inaliénable les valeurs de l’initiative et protège le sort des producteurs (concrètement Nicolas Chabanne cède gratuitement et sans contrepartie la totalité de ses actions à la fondation).
« J’ai décidé de léguer toutes les actions de mes entreprises (dont CQLP) à une structure dont l’unique objet est le soutien aux producteurs. »
« Cela fait un moment que nous voulions le faire et un grand merci à l’équipe qui a bossé dur pour y arriver. Je tiens à remercier d’ailleurs du fond du cœur mes trois enfants Clara, Léo et Matéo qui ont dû s’engager à renoncer à toute forme d’héritage ou de droits pour rendre possible la création de cette fondation. »
Cela représente des millions d’euros apportés au bien collectif. Cela pérennise le projet d’intérêt collectif en garantissant son indépendance et en mobilisant ses bénéfices pour une juste cause.
La fondation actionnaire permet d’assurer un avenir stable et désintéressé sur le long terme (les structures ne pourront plus jamais être cédées à des tiers qui auraient des intentions éventuellement moins louables que celles initialement adoptées).
Le but est donc de protéger durablement les intérêts des producteurs qui bénéficieront, sans changement possible, du soutien de notre initiative collective de consommateurs.
Aujourd’hui tous les entrepreneurs peuvent choisir ce chemin et garantir un partage différent de la valeur. C’est un choix qui peut être peu usuel pour certains, mais il est essentiel pour maximiser les impacts positifs de notre consommation.
Pour développer ce modèle différent et permettre à d’autres entreprises de s’en inspirer, Nicolas Chabanne lance dans les prochaines semaines les « Entreprises du partage » pour démocratiser ce choix de solidarité et de pouvoir multiplier la simplicité et la transparence du fonctionnement de « C’est qui le Patron ?! ».
L’objectif est d’offrir concrètement à nous tous consommateurs la possibilité mécanique de systématiser, via l’achat des produits ou services de cette nouvelle famille d’entreprises, des impacts positifs et durables sur le monde qui nous entoure (socialement, environnementalement, économiquement etc.).
Sous ce lien l’annonce de la naissance des « entreprises du partage » https://lesentreprisesdupartage.com/